En marche vers... le Mont Saint Michel
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Je marcherai sous le soleil trop lourd, Jean
Debruyne
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Un jour du mois d'août 1998, j'ai pris mon sac... |
Dès les premiers
kilomètres,
un paysage de liberté m’attendait Ainsi que les
ampoules et courbatures
Malgré
la beauté des plages et
C’était
une mise à l’épreuve et les
Mais j’étais
décidé à aller jusqu’au bout
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Persévérant,
jour après jour,
j’avançais encore et toujours Le rythme était
pris et mes
Après avoir
remballé tout
Heureux de pouvoir
goûter
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Arriver à Etretat était pour moi le signe que je passais la moitié et que le plus dur était fait |
Je
devais dès lors
aller jusqu’au bout |
Le tour du Cotentin
m’offrait ses magnifiques paysages sauvages
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d'une beauté parfois émouvante |
tout aussi magnifiques |
que vis-je alors dans le lointain ? Saint Michel, me voici ! |